VeChain dénonce les mensonges de l’éco-blanchiment grâce à la transparence de la blockchain
- VeChain utilise la blockchain pour enregistrer les données relatives au carbone, à l’eau et à l’approvisionnement. Il met ainsi fin à la dépendance à l’égard d’estimations ESG invérifiables.
- Les entreprises peuvent désormais prouver l’origine des produits, les émissions et les itinéraires. Pour ce faire, elles utiliseront les enregistrements immuables de VeChain sur la chaîne.
La plateforme de blockchain VeChain bouleverse le modèle traditionnel des rapports sur le développement durable. Elle offre une transparence fondée sur des preuves. Selon Sebastian Rok, ambassadeur de VeChain, l’éco-blanchiment, c’est une tactique utilisée par les entreprises pour paraître respectueuses de l’environnement. Mais, elles ne font concrètement aucune action mesurable. Alors l’éco-blacnhiement perd rapidement du terrain.
🚨🧵 Greenwashing Is Dead.🚨 #VeChain Is the Blockchain of Truth.
Every brand says they’re sustainable.
Every CEO says they care.
Every product says it’s green.But here’s the truth:
Most of it is fake.This is how #VeChain kills greenwashing forever 🧵👇 #VeChain #ESG … pic.twitter.com/UvJ3skJe1S
— Sebastian_ROK Ⓥ 🇩🇪 (@PERE_Mainz) April 6, 2025
Sebastian Rok affirme que la plupart des déclarations de durabilité sur le marché aujourd’hui ne sont pas fiables. En effet, de nombreuses entreprises déclarent elles-mêmes leurs données sans les vérifier , en se fiant à la confiance plutôt qu’aux preuves. Les rapports ESG reposent souvent sur des estimations, tandis que les chaînes d’approvisionnement restent opaques. En conséquence, des milliers de milliards de dollars de fonds ESG circulent sans qu’aucun avantage environnemental ne soit confirmé. Rok note,
L’écoblanchiment est mort. VeChain est la blockchain de la vérité.
Les rapports ESG reposent sur la confiance et non sur des données vérifiables
Le modèle ESG actuel dépend fortement des déclarations des entreprises. Ces affirmations comprennent les compensations carbone, les chiffres d’émission et l’approvisionnement éthique, qui requièrent tous la confiance. De plus, les entreprises communiquent souvent leurs données environnementales à l’aide de feuilles de calcul internes et de sources invérifiables.
Selon Rok, ce cadre manque de confirmation factuelle et ouvre la porte à la manipulation. VeChain propose une alternative, à savoir une vérification soutenue par la blockchain . Au lieu de faire confiance aux déclarations des entreprises, VeChain enregistre les données sur la chaîne.
Il s’agit notamment des matières premières, de l’utilisation de l’eau, des données de fabrication et des émissions de carbone. Cela permet notamment aux parties prenantes de vérifier les données relatives au développement durable de manière indépendante. Face à l’effondrement des modèles traditionnels, Rok insiste sur le fait que ce dont on a besoin aujourd’hui, c’est de preuves.
La technologie VeChain suit les actifs du monde réel
Contrairement à la plupart des blockchains axées sur les jetons numériques, VeChain applique son réseau à la vérification du monde physique. Ses outils permettent de suivre le mouvement des marchandises, la production de carbone et les ressources de production.
De plus, chaque entrée est horodatée et infalsifiable, offrant ainsi un registre ouvert et immuable. L’écosystème de VeChain comprend aussi des éléments tels que ToolChain, VORJ et des passeports numériques pour les produits. La vérification s’étend à plusieurs secteurs.
Par ailleurs, les marques de mode, la logistique des soins de santé, les marchés du carbone et les gouvernements mettent déjà en œuvre l’infrastructure de VeChain. À titre illustratif, les données d’origine, les itinéraires d’expédition et les certifications sont enregistrés et validés par des partenaires tels que DNV. Ces enregistrements ne peuvent pas être modifiés, ce qui permet une transparence totale tout au long des chaînes d’approvisionnement.
Les pressions réglementaires s’intensifient
Les gouvernements appliquent désormais des réglementations ESG plus strictes. De plus, l’Union européenne met en place des passeports numériques pour les produits. Également, la déclaration des émissions est obligatoire au Royaume-Unis. Aux États-Unis, c’est la SEC quisurveille le marketing ESG.
Les investisseurs font également pression pour obtenir des mesures d’impact réelles, et non des affirmations. VeChain permet aux entreprises de répondre à ces exigences de conformité. Les marques qui utilisent VeChain, comme l’ indique CNF, peuvent suivre le cycle de vie complet d’un article, de la production à la livraison, à l’aide de données vérifiées.
La plateforme enregistre les émissions, l’utilisation de l’eau et les itinéraires de transport, ce qui permet aux régulateurs et aux parties prenantes de vérifier instantanément les affirmations. Comme l’a souligné M. Rok, cette approche met fin à la dépendance à l’égard de promesses non vérifiées et la remplace par des enregistrements transparents sur la chaîne.
Avertissement : le contenu de cet article reflète uniquement le point de vue de l'auteur et ne représente en aucun cas la plateforme. Cet article n'est pas destiné à servir de référence pour prendre des décisions d'investissement.
Vous pourriez également aimer
La sécurité sociale américaine fait passer la communication publique à X au milieu des rumeurs d'emploi
Lien de partage:Dans cet article : La sécurité sociale des États-Unis a annoncé son intention de déplacer les communications vers X. La commissaire régionale de la SSA, Linda Kerr-Davis, a mentionné que l'agence n'utiliserait plus de lettres coutumières et de communiqués de presse lors du partage d'informations avec le public. SSA réduit ses effectifs alors que Doge d'Elon Musk continue de faire des changements radicaux alors qu'il continue de réduire les déchets et le personnel.
Les acteurs de la menace injectent des codes malveillants dans des projets de cryptographie légitime
Lien de partage:Dans cet article : Les acteurs malveillants injectent désormais des codes malveillants dans des projets de crypto légitimes pour voler des actifs numériques auprès des utilisateurs sans méfiance. L'origine de l'attaque provient généralement du développeur, avec le code malveillant capable de changer d'adresse de portefeuille receveur lors d'une transaction. Les codes malveillants ont également montré des preuves de persistance, restant sur un système après la suppression du package NPM.
Les ours du XRP le posusent vers le support des 100$ alors que l’ETF XRP affiche un volume impressionnant de 5M$ le premier jour
New York envisage l’adoption du Bitcoin pour les transactions d’État

En vogue
PlusPrix des cryptos
Plus








